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Les histoires longues

Histoires droles - Histoires longues...

Un moine tibétain marche sur une route glacée de montagne et entend un faible pépiment.
Il regarde autour de lui et voit au pied d'une haie, un tout petit moineau à moitié mort de froid. Il le prend et le réchauffe dans ses mains.
"Que faire, s'interroge-t-il ? Si je le garde avec moi, il va salir ma robe et au couvent le chat le mangera. Si je le laisse ici, il va mourir de froid." Soudain une idée lui vient : pour le protéger du gel, il place l'oisillon dans une bouse fumante de vache sacrée, et poursuit son chemin l'âme en paix.
L'oisillon se réchauffe et commence à chanter à plein gosier sa joie d'être encore vivant. Un renard qui passe par là, entend la bouse de vache chanter. Intrigué il s'approche, découvre notre moineau et le croque.

Trois moralités à cette histoire :

1) Celui qui te met dans la merde ne te veut pas forcément du mal.
2) Celui qui t'en sort ne te veut pas forcément du bien.
3) Quand tu es dans la merde, ferme ta gueule !

François Hollande meurt accidentellement...
Il est accueilli au Paradis par Saint Pierre qui lui dit :
- Bienvenue. Cependant, nous devons régler un petit problème. Nous voyons si rarement des chefs de parti, ici que nous ne sommes pas certains de ce que nous devons faire de toi. Le Grand Patron veut que tu passes un jour
en Enfer et un jour au Paradis. Tu devras ensuite choisir l'endroit où tu voudras passer l'éternité.
- Mais j'ai déjà décidé, je veux rester au Paradis.
- Je regrette, mais nous avons nos règlements.
Saint-Pierre conduit François Hollande vers un ascenseur qui le conduit en Enfer. Quand la porte s'ouvre, il se retrouve sur un magnifique terrain de golf tout vert, le soleil brille dans un ciel sans nuages et il y fait un parfait 25 degrés. Au loin se profile un superbe club house. A l'avant de l'édifice se trouvent son papa ainsi que Guy Mollet, Charles Hernu et le promeneur du Champ de mars.
Une grande partie de la droite est là aussi; tous ces beaux personnages s'amusent, heureux et habillés de façon élégante mais décontractée (Dior, Versace, Armani, etc.). Ils accourent à sa rencontre, l'embrassent et se mettent à brasser leurs souvenirs d'antan et leurs débats homériques (ha! ha!).
Ils jouent une partie de golf amicale et dînent au homard et au caviar.
Le Diable offre même une consommation glacée.
- Bois donc ce Margarita et relaxe un peu, François !
- Euh, ben, je ne peux plus boire, j'ai fait un serment.
- Voyons, mon garçon, c'est l'Enfer ici. Tu peux boire et manger tout ce
que tu veux sans t'inquiéter . À partir de maintenant, ça ne peut qu'aller de mieux en mieux!
François Hollande boit son cocktail et commence à trouver le Diable sympathique. Il est gentil, raconte de bonnes blagues, aime aussi jouer de bons tours, etc...
Ils s'amusent tellement qu'ils ne voient pas le temps passer. Arrive pourtant l'heure de partir.
Tous ses amis le serrent dans leurs bras et François Hollande prend l'ascenseur qui monte vers le Ciel.
Saint-Pierre l'attend à la sortie.
- C'est maintenant le temps de visiter le Ciel », lui dit le vieil homme,en ouvrant la porte du Paradis.
Pendant 24 heures, François Hollande doit frayer avec Jean Moulin, Jean Jaurès, De Gaulle et toute une confrérie de gens bienveillants qui conversent de sujets beaucoup plus intéressants que l'argent et qui se traitent l'un l'autre avec courtoisie. Pas un seul mauvais coup ou une seule blague cochonne; pas de « club house » mirobolant mais un resto
ordinaire.
Etant donné que ces gens sont tous pauvres, il ne rencontre aucune connaissance, et il n'est pas reconnu comme quelqu'un d'important ou de spécial ! Pire ! Jésus est une espèce de hippie, un hurluberlu qui ne parle que de « paix éternelle » et ne cesse de répéter ses insipides rengaines : « Chasser les marchands du Temple, il sera plus difficile à un riche d'entrer dans mon royaume qu'à un chameau de passer par le chas d'une aiguille, etc.»
La journée terminée, Saint Pierre revient...
- Alors, François, tu dois maintenant choisir.
François Hollande réfléchit pendant une minute et répond :
- Bien, je n'aurais jamais pensé faire ce choix. Hum? Bon, je trouve le Paradis «intéressant», mais néanmoins je crois que je serais plus à l'aise en Enfer avec mes amis.
Saint-Pierre l'escorte alors jusqu'à l'ascenseur et François Hollande redescend jusqu'en Enfer.
Quand les portes s'ouvrent et il se retrouve au beau milieu d'une grande plaine brûlée et stérile, couverte de vidanges et de déchets toxiques industriels. Il est horrifié d'apercevoir tous ses amis, en guenilles et enchaînés tous ensemble, qui ramassent des déchets pour les mettre dans des grands sacs noirs. Ils gémissent de douleur, se plaignant de leur supplice, leurs mains et leurs visages noirs de saleté.
Le Diable s'amène, mettant son bras velu et puant autour des épaules du nouveau.
- Je ne comprends pas, balbutie François Hollande en état de choc, lorsque j'étais ici hier, il y avait un terrain de golf et un « club house »; nous avons mangé du homard et du caviar et nous nous sommes soûlé. On s'est envoyé en l'air comme des lapins et on s'est tous follement amusés. Maintenant, je ne vois qu'un désert rempli d'immondices et tout le monde a l'air misérable.
Le Diable le regarde, lui sourit sournoisement et lui susurre à l'oreille
- Hier nous étions en campagne électorale; aujourd'hui, tu as voté pour nous!

Il s'agit d'un témoin fort respectable et tout à fait digne de bonne foi. Je signale du reste qu'il était fort bien mis, portant cravate et costume croisé.

Vous me dites que l'accident ne rentre pas dans le champ de la garantie, mais, en tous cas, la voiture de mon voisin est rentrée dans mon champ.

J'ai été verbalisé sous prétexte que le certificat d'assurance apposé sur mon pare-brise était périmé. La marée-chaussée m'agresse, les portes de votre agence sont closes le lundi matin; quant à moi je suis saisi d'un doute: être ou ne pas être assuré!

Tout d'abord je vous dis bonjour, ensuite je vous dis que je vous écris pour vous dire qu'une dame m'a dit que j'avais éraflé sa voiture avec mon vélo.

Depuis l'accident, j'ai des mots de tête.

Vous savez que je ne suis pas un homme à histoire. Je n'ai pas protesté quand le chien d'à côté a sauté à la tête de mon fils et lui a fait tomber ses lunettes. Je les ai réparées tant bien que mal avec de la crazy glue mais j'en ai trop mis, ça a coulé sur les verres et depuis, mon fils n'arrête pas de loucher. Pensez-vous que je puisse me faire payer des lunettes neuves par le propriétaire du chien?

Ma voiture a subi d'importants dommages corporels.

Je m'interroge au sujet de mon assurance vie: ai-je intérêtà décéder tout de suite ou dois-je attendre l'âge de la retraite?

Mon grand danois a avalé les boucles d'oreilles en or de ma femme. Elles valent près de 2000$. Elles étaient sur la table de chevet. Le chien les a vues, a bondi et les a avalées. Vous me demandez de vérifier si je ne pourrais pas les retrouver: j'aimerais savoir pendant combien de temps je dois vérifier les excréments de mon chien.

Puisque mon assurance de frais médicaux s'étend aux personnes à charge, puis-je réclamer pour mon chien?

Pourriez-vous me donner la date d'expiration de mon assurance incendie pour que je sache jusqu'à quand je peux réclamer.

Étant sorti de l'hôpital et sur le point de reprendre mes activités professionnelles, je vais à nouveau utiliser ma voiture. À cette occasion, je vous demande de bien vouloir redémarrer mon assurance.

Depuis mon accident, j'étais le patient le plus patient de mon médecin traitant, mais si vous tardez à m'envoyer un chèque, je serai le plus impatient de vos clients.

À la suite de mon accident du mois dernier, ma voiture a été convoquée par l'expert pour lui montrer ses dommages.

Lorsque le feu a pris dans ma cuisine, mon mari n'avait pas terminé ses travaux de peinture: il y avait deux murs blanc sale, un vert propre et le dernier moitié sale moitié vert propre. La fumée a noirci le vert propre et l'eau des pompiers a fait des traces jaunes sur le blanc sale et le plafond (de couleur indéterminée). C'est maintenant toute une histoire de choisir une couleur qui ne jurera pas trop avec le reste. Pouvez-vous en toucher un mot à l'expert?

J'ai malheureusement rencontré un trottoir avec ma voiture neuve.

Les circonstances de l'accident sont extrêmement claires: mon fils commençait à dévaler la piste quand il a été doublé par l'un de ses skis qui s'était décroché de sa chaussure.

Un camion a reculé dans mon pare-brise et dans le visage de ma femme.

Constatant que tous les arbres sur son terrain avaient été coupés par erreur par son nouveau voisin, l'assuré appelle son conjoint et lui déclare encore tout abasourdi: "Chérie, tous nos arbres sont partis!".

J'avais passé la journée à magasiner pour des plantes et je retournais chez moi. En arrivant à une intersection, une haie s'est dressée devant moi, m'a bloqué la vue et je n'ai pas vu venir l'autre voiture.

Je me suis tassé sur le bord du chemin, j'ai regardé ma belle-mère, puis nous avons pris le champ.

J'ai dit au policier que je n'étais pas blessé, mais en ôtant mon chapeau, j'ai vu que j'avais une fracture du crâne.

Le piéton ne savait plus par où passer, alors je suis passé dessus.

La cause indirecte de l'accident est un petit homme, dans une petite voiture, avec une grande gueule.

Le pauvre type était partout à la fois. J'ai été obligé de donner plusieurs coups de roue avant de le frapper.

J'ai frappé un camion immobile qui venait dans la direction opposée. Pour éviter de frapper le pare-choc de la voiture devant moi, j'ai frappé le piéton.

Le FBI décide de sélectionner une agente très fidèle. Après toute une série de sélections, d'entretiens et d'essais, il ne reste que trois candidates.

Pour le choix final, les agentes mettent les femmes devant une porte métallique et leur remettent un pistolet. « Nous devons être surs que vous suivrez nos instructions, et ce, quelles que soient les circonstances. Derrière cette porte, vous trouverez votre mari assis sur une chaise et vous devrez le tuer. »

La première dit :
« Vous n'êtes pas sérieux ? Je ne pourrai jamais tuer mon mari »
« Alors, vous n'êtes pas la femme faite pour ce travail. »

On donne à la deuxième femme les mêmes instructions. Elle prend l'arme et entre dans la salle. Tout est calme pendant environ cinq minutes puis la femme revient, les larmes aux yeux :
« J'ai essayé, mais je ne peux pas tuer mon mari. »
« Vous non plus, vous n'êtes pas faite pour le job. Emmenez votre mari et rentrez chez vous. »

Enfin, c'est le tour de la troisième. On lui donne encore une fois les mêmes consignes en lui indiquant qu'elle doit tuer son mari. Elle prend le pistolet et entre dans la salle. On entend des tirs, un coup, puis un deuxième puis un autre. Puis, on entend des cris, des coups contre les murs, des meubles qui se brisent. Après quelques minutes, tout redevient calme. La porte s'ouvre lentement et la femme sort. Elle s'essuie la sueur du front et dit :
« C'est qui l'cave qui a mis des balles à blanc ?? J'ai dû l'achever avec la chaise ! »


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